Place à la e-culture
La e-culture du risque a été mise en place dès 2020 via un quiz interactif sur les risques naturels. Elle s’est poursuivie en 2021 avec le premier escape game virtuel sur l’inondation.
En 2022, la e-culture s’est enrichie avec une exposition virtuelle sur les risques, une boîte à outils à destination des collectivités locales, un escape game sur le radon et un escape cards sur le feu de forêt.
Label journée de la résilience
Les deux escapes games virtuels (inondation, radon), l’exposition virtuelle sur les risques ainsi que l’escape cards Feu de Forêt ont été labellisés dans le cadre de la journée nationale de la résilience du 13 octobre 2022.
Retrouvez l’exemple d’une saisine :
Je suis chargé de la vente d’une parcelle située sur la commune de BIDART (64210), figurant au cadastre sous les références Section AE, numéro 136.
Je vous remercie de bien vouloir m’indiquer la situation de cette parcelle
au titre de la législation sur les installations classées pour la protection de l’environnement.
Monsieur X
La volonté des services de l’État était de communiquer sur l’approche paysagère.
Les photomontages du nouvel emplacement rendaient compte de l’insertion des 66 éoliennes hautes de 266 mètres, dont la plus proche est située à 39 kilomètres de la côte.
Organiser une conférence de presse
Cette conférence de presse a été organisée par une équipe interministérielle de communication pilotée par la Préfecture de Charente-Maritime. L’équipe a géré l’envoi des invitations presse à son réseau de médias (presse locale et nationale). Elle a procédé à l’installation des photos panoramiques et aux essais de connexion pour l’intervention prévue en visioconférence. Enfin, elle a accueilli les journalistes et mis à leur disposition des supports (notamment photo), et les a guidés vers les zones d’interviews. Une équipe resserrée DREAL en charge du projet et de la communication était au cœur de l’événement.
Accompagner les débats
L’intervention de la directrice de l’école nationale supérieure de paysage de Versailles a suscité des questions sur la perception et l’évolution des paysages. Les photomontages ont nourri les échanges entre journalistes et techniciens présents tandis que M. le Préfet invitait à observer les différences entre l’ancien et le nouvel emplacement de la zone d’étude.
Cet épisode présente une espèce emblématique de la protection de l’environnement, la Loutre d’Europe.
Celle-ci a failli disparaître de France au cours du XXème siècle, principalement à cause de la chasse pour sa fourrure puis de la destruction et de la dégradation de ses habitats.
Sa protection, à partir des années 1970 et surtout 1980, a permis à la Loutre de reconquérir lentement ses anciens territoires à partir des derniers bastions de population, en grande partie néo-aquitains, la façade atlantique et le Massif central.
L’espèce est aujourd’hui largement répandue dans notre région, mais son état de conservation n’est pas le même dans toutes les régions françaises et de nombreuses menaces sur les populations persistent (destruction d’habitat, risque de collision routière…).
Un premier Plan national d’actions (2010-2015) a permis de mieux connaître l’espèce, de dynamiser les initiatives autour de sa préservation et de réduire certaines pressions. Le second plan, décliné sur la période 2019-2028, permet de poursuivre l’accompagnement de la Loutre dans sa reconquête territoriale.
Espèce sympathique aux yeux du grand public, elle l’est moins pour les pisciculteurs dont le cheptel peut être fortement impacté par sa prédation. L’un des grands objectifs du PNA est de trouver des solutions pour concilier la présence de cet animal piscivore et vorace avec les activités aquacoles.
Briller autour de la galette
Les sujets étaient variés, les origines des gagnants également !
Le SEI a fait un carton plein pour le premier et le dernier jour. Charlotte Roulaud l’a emporté d’un cheveu devant 6 de ses collègues. Les 2 questions du milieu de la compétition, ont laissé plus d’expression aux autres services. Élise Charpentier pour le SAHPL s’est brillamment octroyée la victoire de la seconde manche. Isabelle Levavasseur a redoré le blason du SRNH en emportant la troisième semaine. Enfin, Marine Joussaume pour le SEI a conclu ce palmarès 2022.
Toutes ont été récompensées d’une boîte de chocolats fins. Ils les ont sportivement partagés avec les collègues dans un esprit convivial en attendant la galette…
Le parc est classé depuis le 28 octobre 1931. Ce classement reconnaît la valeur patrimoniale de ce parc romantique à l’anglaise établi fin XIXème sur les anciennes fortifications Ouest de la ville.
Les Rochelais connaissent souvent ce parc comme lieu de promenade, de traversée domicile-travail ou pour des usages de loisirs. Ils sont moins nombreux à connaître son histoire.
Au fil des années…
Depuis sa création, ce parc a d’ailleurs fait l’objet de nombreuses interventions. Elles n’ont pas toujours respecté le patrimoine historique et paysager du parc.
La Ville, incitée par l’inspection des sites de la DREAL, a lancé il y a quelques années un projet de plan de gestion de ce parc classé. Un fort investissement des services de la Ville et du bureau d’études recruté, épaulés par l’inspection des sites et l’Architecte des Bâtiments de France, a permis la finalisation en cette fin d’année d’un "plan guide".
Le plan guide
Ce plan guide, financé en partie par la DREAL, donne à la fois un cadre pour la gestion et la restauration de ce site classé par la Ville et un cadre d’instruction pour les futures demandes d’autorisations spéciales en site classé.
Ses orientations ambitieuses seront déclinées au fur et à mesure de l’avancement des réflexions par des actions concrètes.
Un beau projet de territoire et une belle réussite collective pour un site patrimonial d’exception !
Façonnée par le creusement des vallées et le volcanisme, l’incision de la Dordogne dans la pénéplaine post-hercynienne à Saint-Nazaire est un des plus beaux points de vue de la haute vallée de la Dordogne.
Ce promontoire au confluent des vallées de la Dordogne et de la Diège, ennoyées par la retenue du barrage de Marèges, offre un panorama permettant d’aborder l’évolution géomorphologique récente du plateau limousin.
La surface aplanie, remarquablement horizontale, qui s’est formée par l’érosion de la chaîne hercynienne (pénéplaine) est ici située entre 580 et 610 m d’altitude.
La vallée de la Dordogne est encaissée de 250 m par rapport à la pénéplaine. Les versants de cette vallée sont très pentus.
Cette terre jonchée d’histoire suscitait autrefois la crainte et la peur…
Sur ce site, un démon tourmentait les habitants. Saint-Nazaire passant un jour dans cette contrée, le chassa lors d’une procession en lui jetant de l’eau bénite. En reculant, le démon fit une chute si brutale qu’il laissa l’empreinte de ses pieds dans le rocher.
C’est ainsi que le site prit le nom du Saint qui avait chassé ce démon…
Vous reconnaissez ce lieu ? Ne perdez pas de temps et envoyez votre réponse par courriel.
Ce plan a fait l’objet d’une présentation en CHSCT du 17 novembre 2022.
Vous pouvez le consulter sur l’espace intranet dédié.